D'autant que la crête ne fait pas le moine ni l'habit le punk et qu'il y a bien trop à vivre là maintenant. Alors tous à vos ordis, faites péter les décibelles visuelles. Le voyage c'est comme le rock : c'est tout à fond!

Ici Pérou, à vous Paris!!!



N.B. : en cliquant sur la première photo d'un article, la série s'affiche en grand à l'écran.

lundi 12 septembre 2011

Playa Blanca - Colombie, Région Bolivar, Septembre 2011






































Dans les environs























































 Chez Tony










2 jours au grand calme, face à une mer d'un bleu turquoise qui parvient encore à me surprendre, après le parc Tayrona et la péninsule de Guajirá.
Bain, écriture, bain, lecture, bain, sieste et nuit en hamac, bain, promenade et photos, puis un p'tit bain pour finir. Pour la route. Avec une p'tite bière s'il vous plaît.
Je suis comme un poisson dans l'eau.
Comme une bulle dans la bière.
Blup blup.
D'autant que j'y suis venu en semaine, tôt et y passe une nuit, pour profiter de la quiétude du lieu et éviter la foule. J'aime pas nager dedans.

PS : Le trajet pour s'y rendre a été sympa lui aussi. La plupart des gens y vont en bateau mais on m'avait parlé d'une alternative par voie terrestre, 2 fois moins chère, plus aventureuse et plus intéressante au final. Un premier bus collectif me permet de voir le grand marché local et quelques faubourgs de Cartagena. Une heure plus tard, il me dépose dans le petit village authentique de Pasacaballos. Population uniquement noire, rues terreuses et petits commerces poussiéreux. Je m'y sens vraiment étranger. Et seul bien qu'entouré. Un gosse me fait traverser le fleuve en bateau pour atteindre la rive de l'île, où je chope une moto (taxi) pour parcourir les 17 kilomètres restants. Pas de casque, les cheveux dans le vent tiède et une grande sensation de liberté. On se tape un fou rire avec le jeune qui la conduit, alors qu'on se retrouve bloqués dans une énorme marre d'eau boueuse et profonde d'un petit mètre, prêts à tomber dedans, pieds levés au maximum et moteur noyé. Il a fortement plu la veille et la piste de terre est complètement détrempée. Finalement on parvient à limiter le bain de boue aux seules chaussures et à redémarrer la moto. Bref, ce voyage avait du picant.



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