D'autant que la crête ne fait pas le moine ni l'habit le punk et qu'il y a bien trop à vivre là maintenant. Alors tous à vos ordis, faites péter les décibelles visuelles. Le voyage c'est comme le rock : c'est tout à fond!

Ici Pérou, à vous Paris!!!



N.B. : en cliquant sur la première photo d'un article, la série s'affiche en grand à l'écran.

mercredi 20 janvier 2016

Parque Amboro et environs - Bolivie, Région Santa Cruz, Août 2015.


Refugio Volcanes.


Arrivée dans les brumes. Le refuge se trouve dans la clairière, ce petit espace vert, au fond. Du trou, de la forêt, de la photo. Au pied des montagnes rouges. A pied on verra perroquets, champs de café et papillons à foison. Sentira la chaleur les odeurs, tropicale et végétales. Le calme. C'est bon.









Voilà : 6 chambres en tout. Au fond du trou. On y est bien.









 





Balades en forêt en hauteur et en sueur. Si on est bien au fond d'notre trou, on aime aussi en sortir pour l'observer de haut. De loin. Tant qu'à se regarder l'nombril et même le trou, autant prendre de la distance.









 


















 


















Le café local.













Puis les ombres et lumières de la fin d'après-midi.


















Réveil embrumé.









  






















 













Verticale broméliacée.









Mais nous comme les chiens et les fleurs, on flanche sous la chaleur.









Alors en singes malhabiles, on se colle dans les arbres.




 

















Se baigne dans les eaux.













Écoutons les "suso", aux intonations étrangement variées.














Et on frime.









Pas trop.















A l'arrivée les brumes, en fin le ciel dégagé.











Bosque nublado y helechos gigantes (forêt de nuages et fougères géantes).

































Samaipata. Cactus sur les toits et terrasses en dessous. Parce qu'il n'y a plus d'autres photos, disparues.

















Radio La Loose, ici Pik-Pik : perte de 3 photos sur 10 lors du transfert qui a sacrément buggé. Pas de copie en bon perdant, les premières photos s'affichaient normalement. On retiendra la bouteille à moitié pleine, encore qu'avec moi c'est pas gagné, et les 7 sur 10 récupérées après 3 mois de galères informatiques. Mais plus rien ou presque des villages de Samaipata et Concepción dans la région de Santa Cruz, et nada des vadrouilles dans La Paz avec Mum. Loose is not dead. Pire : loose is alive. Ce n'est que le début d'une longue série de déboires avec le matériel-photo. A l'heure actuelle, j'ai perdu toutes celles de Buenos Aires et d'Iguazu suite à un bug qui a tout effacé sur le portable de Stefani, juste après s'être fait copieusement douchés sous les chutes au Brésil. Car entre temps mon compact a planté dès le premier jour en Argentine, poussières récurrentes dans l'objectif alors que je venais de le faire nettoyer justement. Mise au point impossible. Guindé bien énervé pour commencer. Mal.

La loose. Totale.

Et comme on fait pas les choses à moitié : juste avant ce temps là puisque si c'est possible, mon appareil avait donc pris des poussières dans l'objectif. D'où une jolie série de photos criblées de points noirs, au lac Titicaca avec Jean-Sol. Un peu comme le visage d'un adolescent en pleine éclosion hormonale. Remarque ça nous va bien les points noirs, on fait un peu les ados lors de ces retrouvailles. Après 10 ans. Enfin vous verrez. Car je crois que je vais quand même les publier.


Radio Pik-Pik c'est la bricole. Mais on continue, malgré la loose qui poursuit et "la quéquette qui colle".
Radio Pik-Pik c'est du Svinkels.

A vous Paris! 





2 commentaires:

  1. Salut Pik-Pik, le cadre est magnifique et les photos manquantes sont imprimees en toi. Ca donne envie de revenir faire un tour en Bolivia. Bonne continuation et prend soin de toi, Filou

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  2. Coucou la Loose, ici la Loose bis... Juste pour que tu saches que je suis toujours un inconditionnel auditeur de Radio Pik-Pik, je n'en manque pas une miette. Et n'oublie pas que je vois même les images que tu ne publies pas, alors fais bien gaffe quand même. J'aime et je t'aime ! (c'était France Bleue Cotentin qui te répondait)

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