Mum is back. De retour sur les terres boliviennes après 2 ans. A croire que de nos jours les mères n'ont vraiment plus peur de rien. Même prévenues. Franchement il faut être fou. Comme le pays. Ses altitudes, ses paysages, sa capitale, son chaos : fous. Comme le fils. D'y vivre. Et d'emmener marcher la mère aux alentours de la "Muela del diablo", entre 3500 et 3800 mètres après seulement 2 jours d'acclimatation. Le souffle court et...? Ça aurait pu être pire : on a évité un marathon dans le désordre pétaradant et pollué de l'Alto à 4100. Ici tout ne fut que paix et silence, en dépit de la proximité de la ville, et à une basse altitude pour la région. C'était mon cadeau de bienvenue.
Merci d'avoir fait de nouveau le chemin.
Merci d'avoir fait de nouveau le chemin.
Cette visite, en forme de rupture du quotidien, relance l'envie de faire un peu d'photo et du même coup la Radio Pik-Pik. Wawawoum! La machine est repartie. Ça fait tchou-tchou et ça pousse dur sous les guibolles, comme dans les coeurs. Mais comme justement demain c'est départ pour l'Argentine puis le Brésil, la suite de la tele-novela "Mum is bolivian" en 2016.
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