Quatrième et dernière étape : Puerto Chuvica - Uyuni.
Le désert de sel pour finir. D'une toute autre manière que l'article d'avril 2012.
On arrive du sud et on traversera jusqu'au volcan Tunupa. Au nord du salar. Avant de filer à l'est et à Uyuni. La veille au soir on décide d'un commun accord de se lever plus tôt, à 5 heures, pour rouler de nuit et voir le lever du soleil depuis l'île Incahuasi, au centre du salar. L'île aux cactus. Géants verts. Et pourtant point de maïs ni de boîte en ce désert. Même pas l'ombre d'une discothèque. Pas de boules lumineuses ni de bit, juste des cactus. En forme de. Les boules, moi qui pensais être parti en after, me voilà en before. The sun. Ceci dit ça vaut l'coup, sauf qu'au lieu d'transpirer on a l'onglet comme jamais. Doit faire -20º juste avant le lever? Et qu'au lieu d'voir des p'tits culs on voit des gros calus. Ou phactus je n'sais plus. A vous d'voir moi j'vois plus rien à force dans prendre plein les yeux. Depuis 4 jours.
Une éternité passée à vitesse grand V.
Une éternité passée à vitesse grand V.
Fin d'après-midi à Uyuni. Avec les papis rigolards les clébards feinéants. Leurs vélos au repos, leur flémardise tranquille. Avec la douceur du soleil et d'un jus d'oranges pressées. Cependant pas plus pressées que les papis et leurs vélos. Nique les clébards.
On aurait pu le mettre dans la boîte à gants, ce sera sur le tableau d'bord. Le grand luxe. Le grand air. Direction Sucre.
Sucre. Qui porte bien son nom après la rudesse de l'Altiplano et du Sud-Lipez. Pour finir en douceurs. Le dessert après l'désert.
Couvent San Felipe de Neri.
Plaza Recoleta.
Le patio de notre hôtel. En mode barroque espagnol, barons invités. Alors on se la pète en la jouant profil bas.
Radio Pik-Pik remercie chaleureusement Maman Pik-Pik pour ce regain d'envie. De voyager. Photographier. Ecrire et déconner aussi.
Pour sa discrète et son agréable compagnie. Sa venue.
Pour sa discrète et son agréable compagnie. Sa venue.
Ici Radio Pik-Pik, à vous Paris!!!